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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 21:52
Pour être complètement honnête, je ne sais pas bien où va ce blog.

Bien sûr, il y a la sempiternelle question de la motivation, mais ce n'est pas le tout : je me pose aussi beaucoup de question sur le contenu de ce blog et son intérêt.
Après tout, quand je suis en phase maniaque1, je fais (ou essaye de faire) plein de trucs, je vois des gens, et je n'ai pas la disponibilité d'esprit pour bloguer de façon approfondie. En phase dépressive je n'en ai ni la force, ni le matériau nécessaire.
Maintenant que je mets mes citations plus ou moins littéraires sur mon tumblelog, et que beaucoup des liens que je découvre passent sur mon twitter au lieu de s'accumuler en listes susceptibles de devenir cohérentes et sujettes à blogation, la quantité et la variété de mes posts s'est considérablement réduite. Bien sûr il y a toujours des sujets qui m'intéressent ou qui me font bouillir, mais il faut croire que je vieillis puisque la nécessité de les partager avec le monde entier s'est faite moins impérieuse.
Ôtés les citations, les butinages de liens et les diatribes, reportés mes grands projets d'artisanat plus ou moins créatif, il reste donc plus guère que des compendiums de bons mots qui n'intéresseront que ceux présents à la profération, les brèves psychorigides sur le thème «haaaaan, le mec qui cause dans le poste a fait une faute de français», et les photos de jolies choses vues dans les rues de Paris, lesquelles sont souvent disponibles ailleurs, en bien mieux.

Vous admettrez que ce bilan n'est pas des plus folichons. Mais il n'y a pas de quoi déprimer non plus : tant que ça m'amuse, après tout, ça en vaut la peine, même si mon chat le chat que j'ai dans ma vie2 (et mes quelques potes expatriés) sont les seuls à me suivre3. La clé est bien sûr de ne pas céder à la tentation de la comparaison : quoiqu'ils portent tous deux le nom de blog, ce petit défouloir n'aura par exemple jamais vocation à atteindre l'époustouflante combinaison de fréquence, pertinence, style et contenu de merveilles telles que (par exemple) Bouphonia, dont la prose ne cesse de me réchauffer le coeur et l'esprit.

A priori, au moins à court terme, je maintiens ce blog ouvert, ne serait-ce que parce que la dernière fois que j'ai ouvert le cahier de brouillon à gros carreaux dans lequel je note ou j'agrafe, si j'y pense, les idées flottantes dont il me semblerait à propose de parler ici,
j'y ai trouvé des entrées non traitées remontant à 2006. Je ne suis peut-être pas tant dépourvue de choses à dire que cela, finalement...
Mais comme dit précédemment, attendez vous pour le moment à plus d'images que de longs discours.


1 : Un ami (qui sait de quoi il parle, de première main) applique le terme de maniaco-dépressif à toute personnne fonctionnant par phases d'hyperactivité enthousiaste et de stagnation introspective. Le comique de la chose est qu'il ne s'est toujours pas rendu compte que j'en suis le meilleur exemple parmi ses amis, simplement parce qu'il ne me voit que pendant mes phases maniaques.
2 : Parce que, pour citer la fille marrante croisée par hasard en débarquant chez elle à l'improviste, «je suis contre l'appropriation des corps». Bon, OK, et aussi parce qu'il n'est pas à moi, en vrai
, d'après la puce RFID qu'on peut lui sentir sous la peau.
3 : On the Internet, no one has to know you're a cat.


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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 17:00

L'indispensable Philatheles fête les cinq ans de son inénarrable Bouphonia, dont je chantais déjà les louanges il y a trois ans. Il en profite pour réfléchir à la portée d'un effort si longtemps soutenu, et je pourrais dire la même chose de mon propre blog, si ce n'est que je suis loin d'écrire aussi bien :
It dawns on me that as of today, I've been making a sorry spectacle of myself on this blog for five goddamn years, for fuck's sake. That makes Bouphonia at least 80, in human years. (...)
I suppose I shouldn't make light of what I've accomplished here. In its crooked old age, and mine, Buffoonia has become a Wunderkammer that preserves the stillborn montrosities of my thought in neatly labeled specimen jars. This is interesting, like all disasters, but it's also useful: If I ever fall prey to self-satisfaction, I know exactly where to find the antidote.
Si vous lisez l'anglais, profitez sans retenue, mais si ce n'est pas le cas, consolez-vous en contemplant les incroyables photos de nudibranches, ainsi que les liens merveilleusement bons pour le moral qu'il compile dans la série Friday Hope Blogging.

J'ai perdu la mémoire de comment j'en suis venue à découvrir ce recoin rare de l'interweb, mais le responsable du lien qui m'y mena a gagné ma reconnaissance éternelle.

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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 23:15
De retour par ici après une semaine d'absence, je me suis rendue compte d'une petite chose toute bête qui m'a pourtant fait plaisir : l'article qui attire le plus de visites sur ce blog est celui que j'avais explicitement écrit pour informer les gens sur un sujet dont l'obscurité me paraissait regrettable.


Eh oui, mon article sur la vasectomie, et c'est d'ailleurs le premier mot-clef par lequel on atterrit ici. Je suis bien consciente qu'on fait difficilement moins glamour, mais si mon destin avait été d'être glamour, mes agneaux, ça se saurait.
Et de savoir que, malgré mes innombrables coquilles typographiques, digressions et autres sauts du coq à l'âne, j'ai pu apporter des informations précises à ceux qui en cherchaient, je n'hésite pas à dire que ça me réchauffe un peu le cœur, quand même.
Ceci dit, tout de même pas tout à fait autant que de voir une copine mille fois plus compétente que moi s'obstiner à me demander mes lumières sur des domaines méga-pointus comme si j'étais pythonisse à Delphes pendant mon temps libre. For such people to think that highly of me, I must be doing something right...

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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 00:00

Je n'ai jamais, je répète jamais, disséqué quoi que ce soit de plus gros qu'un cerveau humain (à mon grand regret). Et je m'y prends beaucoup plus proprement que ça (et sans gants, sauf pour les fruits de mer...)

Edit
:
En vérité, je surprise dans l'acte de sauver la vie à ce pauvre panda
Ciel, mais qu'est-ce donc que cette compression toute pourrite ? Cliquez pour mieux voir.
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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 00:00
Oh, j'ai failli oublier : il suffit de peu pour m'arrêter dans mes entreprises, par exemple la tâche quasiment insurmontable de scanner un dessin...
Le 17 janvier dernier, ma comparse Nacara et moi-même allâmes de concert nous faire dédicacer le deuxième tome de Notes, intitulé Le petit théâtre de la rue, par l'irremplaçable Boulet.

Du coup, j'y ai connu mon quart d'heure de gloire warholien, puisque l'empereur de la blogosphère BD m'a reconnue, qui plus est de dos (!)... 

Pour ma première dédicace, j'avais demandé une Roxane, pour la deuxième une private joke pour l'ami à qui l'ai offerte, alors pour la troisième, j'ai laissé le choix à l'ârtiss. J'ai donc eu droit à ce portrait éminemment flatteur :

Certes, mon sourire est un peu crispé, mais j'aimerais bien vous y voir, vous, à poser au débotté !
Pour ce qui est de la qualification de control freak, je suis bien obligé d'admettre que je la mérite parfois, en particulier lorsqu'il s'agit de typographie et de mise en page (on devrait obliger les gens à passer un permis avant d'avoir le droit d'utiliser autre chose que Helvetica et Times).
Ceci dit, je ne suis pas la seule à avoir une réputation d'enfer avec Boulet...

A part ça, j'ai été intriguée par le numéro : 10704. Ce n'est pas la date, c'est trop grand pour être le numéro du dessin, alors quoi ?
Alors un tour sur internet m'a permis de trouver les numéros 4901 et 5680 en 2006, 7790 en 2007, et 9293
en 2008.
Et après avoir ramassé mon maxillaire inférieur sur la moquette, je suis bien obligée de me rendre à l'évidence : c'est le numéro de la dédicace...
Entre le 23 juin 2006 et le 17 janvier 2009, Boulet a trouvé moyen d'en faire plus de 5 800, ce qui nous donne un rythme de  croisière autour de 2 300 par an, ou 175 par mois, ou 6 par jour, tous les jours. Seulement.

Je suis donc au regret de conclure que Boulet est un fou dangereux, un bourreau de travail qui n'a jamais entendu parler de la Convention de Geneviève, celle qui dit que quand on a du talent, on pourrait au moins ne pas en rajouter en jouant les Stakhanov !
Plus sérieusement, il a mon respect pour tout le temps passé en festival ou en librairie à satisfaire les demandes les plus invraisemblables de ses fans.

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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 12:51
Ouaip, je suis sérieusement à la bourre, mais il fallait quand même que je remercie Nac' de m'avoir traînée à la soirée Wi-filles au début du mois.
Oui, c'est aussi ridicule que le nom le suggère, mais débarquer en mode über-nerd dans une forêt de clones à robe boule et leggings noir est un plaisir qui ne se refuse pas, surtout si ça permet de dire du mal de tout le monde en tout bien tout honneur, de rencontrer des copines de Nacara, et de s'amuser un peu. Le sketch du jour : à la soirée Wi-filles, les ordis installés ne captaient pas le wi-fi.

Je commence d'ailleurs à souçonner un vaste complot cosmique à mon encontre, qui consiste à me faire rencontrer plein de gens cool, jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucune place dans mon emploi du temps pour en voir aucun. Ou alors pour que je fasse fuir tous mes lecteurs à coup de name-dropping éhonté. Je résisterai à la tentation pour cette fois-ci, mais lisez tout de même les autres comptes-rendus pour avoir le détail...

Sur ce, je vais devoir vous laisser, faut qu'on s'occupe de trouver un kilt à mon saxophoniste pour le concert de ce soir.
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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 12:12
Comme j'avais commencé à me la péter avec tous les blogeurs über-connus et vachement people que je connais, je me suis dit que j'allais continuer sur cette lancée en retournant à la grand'messe annuelle des blogs de bande dessinée, intitulée Festiblog.

J'étais déjà allée à la première édition en (aïe ça fait mal) 2005, d'où j'avais ramené une dédicace de Boulet et la conviction que décidément il y avait trop de monde. Mais le temps efface le souvenir des pieds oedémateux, et j'ai fini par me laisser séduire par la perspective d'accompagner Nacara, She of the Impressive Addressbook.
Eh bien laissez-moi vous dire que trois ans après, avec l'explosion de la popularité des blogs dessinés, la foule et la presse étaient d'une toute autre magnitude que l'affluence de la première fois, mais je suis quand même pas mal contente de m'y être pointée.

J'y ai croisé des copines et de parfaits inconnus, j'y ai mangé des bananes à l'oeil, j'y ai vu des gens que je lis et d'autres que je lirai désormais, j'ai fait des emplettes et j'ai beaucoup discuté.

J'ai aussi découvert à cette occasion que j'étais terriblement bornée : je m'étais mis en tête d'obtenir une autre dédicace de Boulet, pour un ami cette fois. Et je l'ai obtenue.
Ça m'a pris quatre bonnes heures, sans hyperbole, soit, pour les innumérés, autour de 250 minutes à attendre. Heureusement, j'ai bon caractère, alors j'ai passé le temps avec les moyens à ma disposition :

1/  J'ai terminé la Nef des fous, commencée il y a deux ou trois ères géologiques et que j'avais perdue dans un glissement entre des couches stratigraphiques différentes.
2/ J'ai mangé des amandes au chocolat (moyen très efficace de se faire des amis parmi ses voisins).
3/ J'ai lu les bouquins et les Bd que j'avais acheté pour moi et pour offrir.
4/ J'ai gribouillé des trucs sur mon cahier, et tout le monde a cru que j'étais une blogueuse BD hyperconnue qui se cachait dans la file de Boulet pour rester incognito.
5/ J'ai fait connaissance avec mes petits camarades de queue, tout aussi patients et déterminés que moi, et même prêt(e) à négocier pour savoir qui obtiendrait le coeur de Boulet.
6/ J'ai bronzé, oui monsieur, oui madame, bronzé, avec une marque de bronzage et tout, un 27 septembre à Paris. Je suis fière de moi.
7/ Et comme tout ça n'a pas réussi à occuper les quatre heures d'attente en entier, j'ai pris la décision stupide mais réjouissante de faire un sondage dans la queue.
Je suis donc partie, carnet à la main, poser des questions indiscrètes à une soixantaine de personnes, que je ne connaissais ni des lèvres ni des dents, et qui ont eu l'amabilité de me répondre. Mes questions étaient : Depuis combien de temps lisez vous Boulet ? Tenez-vous un blog, et si oui, est-il dessiné ?

Les résultats sont parfois surprenants. Par exemple, il y avait dans la file 7 (sept) personnes qui faisaient la queue et qui admettaient ne pas lire Boulet : elles ne faisaient qu'accompagner ! C'est beau l'amitié/la dépendance et l'amour/la jalousie (rayer les mentions inutiles)...
Si on compte ces derniers, les gens dans la queue (les queutards? non, on va éviter) lisent Boulet depuis 18 mois en moyenne. Si on considère qu'ils n'ont pas à faire baisser les scores,et qu'on ne prend en compte que ceux qui lisent effectivement Boulet, on monte à une vingtaine de mois d'ancienneté moyenne.
Ça se répartit comme ça :


Les deux premières colonnes correspondent à 0 et 1 semaine. Les suivantes à 1, 2, 6 et 8 mois. Les dernières à 1, 2, 3 et 5 ans.

Pour la deuxième question, on obtient tout de même les aveux de 26 blogueurs, et encore : je n'ai pas compté ceux qui, à la question "Avez-vous un blog ?" répondent "Euuuh.... non !" d'un ton fort peu convaincant.


En bleu, vous avez les nobody, les gens normaux, ceux qui n'éprouvent pas la pulsion narcissique de raconter leur vie au monde entier en tenant un blog. Tout le reste de ce sublime camembert est constitué de gens qui, pour des raisons, sans doute mauvaises, mais qui leur appartiennent, ont décidé d'exister sur la toile(1).
En violine, vous avez les gens comme moi : hypertrophiés de la fibre blablateuse, mais sérieusement empêchés quand il s'agit d'avoir du talent graphique, et qui tiennent donc un blog bête, avec des lettres tapées sur un clavier(2). Assommant, quoi.
En vert d'eau sont représentés les blogueurs qui dessinent un peu, en dilettante, parce qu'il faut savoir tout faire, et enfin en beige vous avez les blogueurs, les vrais, ceux qui signent leurs posts à la pointe du crayon (ou du stylet), et leur blog entièrement dessiné. Et ils étaient tout de même dix, soit un sixième de l'échantillon !
Bien sûr, ces résultats auraient sans doute été différent à une dédicace consacrée aux albums de l'auteur, par opposition à une manifestion centrée sur les blogs, et surtout il aurait été nettement plus intéressant de pouvoir corréler l'ancienneté du lectorat de Boulet à leur tendance à posséder un blog, a fortiori dessiné. Mais une analyse de corrélation aurait demandé beaucoup plus d'effort et de minutie, et voyez-vous, j'étais tout de même avant tout occupée à bronzouiller. S'il pleut au prochain festiblog, on en reparlera peut-être...

Après ça, je suis rentrée chez moi avec deux badges en plus et deux jambes en moins pour remplir ma mission sacrée de bourrer la gueule à mes potes et accessoirement à ceux des autres : c'est toujours un plaisir.


Avant de clore ce compte-rendu éminement sérieux (vous en avez lu d'autres vous, des posts sur le festiblog avec des camemberts(3) ?), laissez-moi mentionner que si vous avez raté le festival et que vous n'avez pas eu votre comptant de blogs bédé, vous pouvez encore vous rattraper en allant suivre le championnat de bras de fer à la succursale (bizarre, j'aurait juré qu'une organisation arborescente de ce type correspondait à un tournoi).

Et puis salut à Armance et au Roi des singes !



(1) Si vous m'avez retrouvée je ne sais comment et que vous souhaitez vous identifier, je serais ravie de mettre un lien vers vos blogs !
(2) J'avoue, j'ai menti : un blog non dessiné peut, après tout, être un blog photo.
(3) Les graphiques sont faits avec Gnumeric (comme eXcel mais en plus geek).

Hors-sujet : Je découvre que j'ai une quasi-homonyme (ou du moins homonickname), Aby,  qui fait de fort jolies photos.

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15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 23:54
C'est fou comme ça peut faire du bien de se racheter une vie sociale, de temps en temps, surtout  quand l'estomac n'est pas oublié...
Bien sûr, ça implique de passer un temps appréciable loin de son ordinateur, mais ça permet aussi de se rappeller qu'on connaît au final pas mal de blogueurs, et qu'il n'y a pas de raison que je ne m'en vante pas avec la plus grande absence de vergogne. Hé oui, je suis comme ça.

J'ajoute donc à ma liste de liens :

- celui du remarquable photoblog de voyage
The Pita Project, qui chroniqueune odyssée romantique en Grèce avec te très zoulies zimages...

- celui du Grand Ancien Blog de Flaoua, qu'une petite frisée toute excitée m'a présenté il y a... quelque chose comme cinq ans en m'expliquant qu'elle avit trouvé la femme de sa vie.

- et le blog cuisine de la même, qui porte, très justement, le doux nom de Culinopathe..

Ce point d'information fait, notre programmation régulière devrait reprendre sous peu, promis promis ( personne ne peut voir mes doigts croisés dans mon dos, hein ?)




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30 août 2008 6 30 /08 /août /2008 12:00
C'est la rentrée, et son grand ménage : j'ai dépoussiéré ma liste de liens, et j'y ai rajouté des petits nouveaux, ce que j'aurais du faire depuis un bon moment.
J'ai  rayé le blog des Chicou-Chicou, arrêtés, et plus triste encore j'ai enlevé le lien vers Giornale Nuovo, qui m'a fait découvrir tant de belles choses pendant ses cinq ans d'existence. Pour le remplacer, j'ajoute BibliOdyssey, qui... éh bien comme son nom l'indique.
J'ai eu le plaisir de voir qu'après presque un an de silence the Joker and the Thief sont repartis de plus belle, et bien décidés à nous donner leur avis sur la campagne américaine en cours. Ceux-là restent donc, sans doute pour longtemps !
Enfin, j'ai ajouté quelques liens : l'expérience citée dans l'article précédent, Tibo Soulcié
évoqué il ya peu, et puis Fièvres, que j'aime décidément bien.

Amusez-vous bien, mais faites attention à ne pas vous salir, et restez polis.


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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 12:00
À l'instigation d'une amie, j'ai participé à une tentative de blog collectif, en essayant d'y adopter un style différent de celui que je pratique ici. L'expérience aura été de courte durée, mais  cela peut toujours vous faire de la lecture pour un après-midi pluvieux :

Implosion imminente


et

Ô qui dira les tomes de la ville ?



Tout commentaire comme d'habitude bienvenu.


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Edito

Soyez les bienvenus sur ce petit blog sans ligne éditoriale fixe, qui échoue à mourir depuis 2005.
La fréquence de mise à jour se veut quotidienne au mieux (par ce que je suis de nature optimiste), trimestrielle au pire (parce que je suis velléitaire bien plus encore).

Alea jacta est :


Aussi :



Ordo Ab Chao