19 août 2005
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Voici juste une petite entrée pour confesser aux bonnes âmes qui prennent la peine de me lire mon manque de maîtrise de la politesse éditoriale.
Vous aurez sans doute remarqué que je ne répond à peu près jamais aux commentaires qu'on me laisse. Est-ce à dire que je ne les lis pas, ou que je les dédaigne?
Bien sûr que non : je les trouve en général très gentils, plutôt drôles et parfois très informatifs, mais je n'arrive pas à me résoudre à y ajouter des réponses aussi vides de sens que "Merci! encore!" ou "C'est bien vrai", que ce soit sur mon blog ou, a fortiori, sur le blog du commentateur, hantée que je suis par le spectre de l'autoréférence inane.
Donc, en général, je ne répond rien, me contentant de corriger l'article lorsqu'un bon samaritain a poussé le dévouement jusqu'à me signaler une erreur (merci Axelle...).
Jusqu'à ce que je me trouve un générateur automatique de réparties originales, il y a donc fort à parier que ce statu quo de taciturnité (1) éditoriale sera reconduit sine die (2), cette note ayant pour seul but de ne pas décourager mes fidèles commentateurs en série : Démiurge, Sieglind, Walsong, le bon Docteur et tous les autres...
J'avoue que j'ai hésité à l'idée de pérenniser ce blog au-delà de la rentrée, et que tous ces témoignages d'intérêt assidu m'encouragent à ne pas abandonner ce qui ressemble parfois à un exercice de monologue dactylographié.
Bien à vous,
Abie
(1) Si, si, ce mot existe bien!
(2) Je suis en veine d'expressions latines aujourd'hui, il ne faut pas faire attention, ça passera vite.
Vous aurez sans doute remarqué que je ne répond à peu près jamais aux commentaires qu'on me laisse. Est-ce à dire que je ne les lis pas, ou que je les dédaigne?
Bien sûr que non : je les trouve en général très gentils, plutôt drôles et parfois très informatifs, mais je n'arrive pas à me résoudre à y ajouter des réponses aussi vides de sens que "Merci! encore!" ou "C'est bien vrai", que ce soit sur mon blog ou, a fortiori, sur le blog du commentateur, hantée que je suis par le spectre de l'autoréférence inane.
Donc, en général, je ne répond rien, me contentant de corriger l'article lorsqu'un bon samaritain a poussé le dévouement jusqu'à me signaler une erreur (merci Axelle...).
Jusqu'à ce que je me trouve un générateur automatique de réparties originales, il y a donc fort à parier que ce statu quo de taciturnité (1) éditoriale sera reconduit sine die (2), cette note ayant pour seul but de ne pas décourager mes fidèles commentateurs en série : Démiurge, Sieglind, Walsong, le bon Docteur et tous les autres...
J'avoue que j'ai hésité à l'idée de pérenniser ce blog au-delà de la rentrée, et que tous ces témoignages d'intérêt assidu m'encouragent à ne pas abandonner ce qui ressemble parfois à un exercice de monologue dactylographié.
Bien à vous,
Abie
(1) Si, si, ce mot existe bien!
(2) Je suis en veine d'expressions latines aujourd'hui, il ne faut pas faire attention, ça passera vite.