22 mai 2009
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12:00
Entre l'art de chasser le mammouths au cure-dent et le métier rude mais honnête de désinfecteur de combinés téléphoniques, on trouve parmi les compétences irrémédiablement perdues par les dernières générations celle d'effectuer le plus petit calcul sans l'aide d'un ustensile à caractère électronique.
Le calcul a beau être enseigné à l'école élémentaire, sa pratique est tellement rare qu'on l'oublie à toute vitesse, et je ne parle même pas du calcul mental, que d'aucuns semblent prendre pour un synonyme du supplice de la roue...
Moi-même, malgré la curiosité pathologique qui me caractérise et qui sera ma perte, je dois admettre n'avoir jamais pris la peine d'essayer de comprendre le fonctionnement ésotérique de la règle à calcul de mon paternel. Alors imaginez les difficultés que j'ai eues à me représenter celui de son ancêtre : les réglettes de Neper, ou bâtons de Neper, ou, en anglais, Napier's bones.
Bon, ça emmêle un peu les neurones comme façon de fonctionner, mais ça va encore.
Mais je n'ai trouvé aucune source me permettant de comprendre ce que les chinois du dix-septième siècle entendaient par compas de calcul, et encore moins par calcul au pinceau. je ne sais même pas si ça rentre à proprement parler dans la rhabdologie...
Apparemment, le Big Bad Web est un peu léger sur l'histoire des maths, et croyez bien que ça me désole.
Mais plutôt de de me morfondre, et en l'absence de toute transition logique, je prend la liberté de vous raconter l'anecdote invraisemblable d'un ami matheux qui avait gagné une course de taxi gratuite en répondant correctement à la question du chauffeur : quelle est la formule magique en mathématiques ?
La réponse est bien sûr : r à yn chvffnapr (v sbvf cv) cyhf ha étnyr méeb
(C'est codé en rot13 : pour lire, utilisez votre ligne de commande ou un déchiffreur en ligne.)
Allez hop, filez, maintenant !
Le calcul a beau être enseigné à l'école élémentaire, sa pratique est tellement rare qu'on l'oublie à toute vitesse, et je ne parle même pas du calcul mental, que d'aucuns semblent prendre pour un synonyme du supplice de la roue...
Moi-même, malgré la curiosité pathologique qui me caractérise et qui sera ma perte, je dois admettre n'avoir jamais pris la peine d'essayer de comprendre le fonctionnement ésotérique de la règle à calcul de mon paternel. Alors imaginez les difficultés que j'ai eues à me représenter celui de son ancêtre : les réglettes de Neper, ou bâtons de Neper, ou, en anglais, Napier's bones.
Bon, ça emmêle un peu les neurones comme façon de fonctionner, mais ça va encore.
Mais je n'ai trouvé aucune source me permettant de comprendre ce que les chinois du dix-septième siècle entendaient par compas de calcul, et encore moins par calcul au pinceau. je ne sais même pas si ça rentre à proprement parler dans la rhabdologie...
Apparemment, le Big Bad Web est un peu léger sur l'histoire des maths, et croyez bien que ça me désole.
Mais plutôt de de me morfondre, et en l'absence de toute transition logique, je prend la liberté de vous raconter l'anecdote invraisemblable d'un ami matheux qui avait gagné une course de taxi gratuite en répondant correctement à la question du chauffeur : quelle est la formule magique en mathématiques ?
La réponse est bien sûr : r à yn chvffnapr (v sbvf cv) cyhf ha étnyr méeb
(C'est codé en rot13 : pour lire, utilisez votre ligne de commande ou un déchiffreur en ligne.)
Allez hop, filez, maintenant !